En effet, un pr peu rester dans sa cachette et avoir faim...un certains temps du moins, moins le cas en térra pour autant.
celà ne change donc rien à ce que je disais...ne soit pas toujours aussi vite catégorique dans tes écrits...j'écris ce que j'ai testé, ou ce que d'autres ont fait avec succèes, je n'ai pas pour l'habitude de dire une chose non vérifié auparavant par moi ou d'autres personnes....Tu penses que je suis un mytho ou un affabulateur qui passe du temps sur le site à écrire quelque chose pour se faire mousser ou se faire connaître ??? non mais sans rire ! j'aurais bien autre à faire tu ne penses pas ??
Au bout d'un moment, ils sortes, et se mettront à chercher dans un autre endroit leur proie, donc désolé, si, celà s'applique parfaitement, auncun chasseur passif restera bêtement à attendre pour rien trop longtemps une proie sans changer de lieux de chasse.
La Théorie ca sert jusqu'à un certains point...et tu sembles bien la maîtriser, d'ailleurs, ce que tu as écrits est juste, et même intérréssant, j'ai pris plaisir à te lire, sauf dans certaines de tes affirmations un peu trop hâtives.
Mais la pratique celà sert aussi, notament à ajuster certaines choses, surtout dans la maintenance en térrarium.
Et elle ne vient que de son élevage perso , de son vécu, ou encore dans l'observation du milieux naturel, et là je regrette, tu est apparement bien trop ancré sur la théorie, et trop catégorique...un peu de recul serait appréciable dans tes réponses...merci d'avance !
En chasse passive, en effet, l'attente à lieu en un lieu précis, abris, zone de chasse, déclanchant la capture de la proie que lors de son approche, la mante religieuse fait une chasse passive, mais peu devenir active, les cératophrys, par exemple, sont très passives dans leur système de chasse, mais changeront malgré tout d'endroit si nécéssaire.
les vipères à cornes du désert sont passive et très peu active, dans la chasse je précise.
celle que j'ai étudié dans le désert, cérastes céreastes et cérastes vipéra restait à l'affût hors de leur abris la nuit, parfois le jour pour c.vipéra au printemps, mais pour autant ne se positionnait jamais au même endroit, et j'en sais quelques chose, puisque j'ai filmer, photographier et observer celà en été, et au printemps, deux ans de suite, trois fois par an.
Par contre, en effet, très clairement, jamais je n'en ai vu posté hors des endroits non fréquenter par des passages réguliers de gerbilles ou des souris.
Après, le pr, il n'est pas aussi passive que celà, plus qu'un boa...ou qu'une élaphe, c'est évident.
Mais statique dans son milieux, certainement pas.
Steve